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Article écrit pour le blog d’une agence de voyage
La plus étrange des Namibie
Cela pourrait être un mirage ou un vaisseau fantôme ; posé sur le sable à l’endroit où le désert rencontre
l’océan, un cargo a terminé sa course sur les rives de Namibie il y a quelques années. Il entame sa lente
désintégration par oxydation, comme des milliers d’autres le long de la côte atlantique. A moitié immergées
ou avalées par le sable, les carcasses de navires échoués jalonnent le rivage atlantique nord de la Namibie.
La Côte des Squelettes ou les « Portes de l’enfer »
Si cette région porte la charmante appellation de Côte des Squelettes (c’est maintenant un parc national),
ce n’est pas à l’origine pour ses épaves, mais pour les carcasses de baleines et de phoques abandonnées
par les pêcheurs. Les Bushmen l’appelaient « La terre que Dieu créa dans la colère » tandis que les
Portugais la connaissaient sous le nom de « Portes de l’enfer ». Tout un programme… À moins que vous ne
soyez taillé pour l’aventure et décidiez de joindre une expédition, la partie la plus septentrionale de la Côte
des Squelettes est très difficile d’accès et se visite en avion.
Damaraland : repaire d’une faune étrange et captivante
Plus au sud, dans le Damaraland, c’est en 4×4 que vous pourrez parcourir le désert et découvrir une faune
et une flore aussi fascinantes qu’exceptionnelles. Dans ce pays des extrêmes, l’étrange est aussi dans la
vie animale. Il y a bien sûr les safaris, et ils prennent ici une dimension particulière puisque les animaux que
nous voyons habituellement dans la savane vivent ici dans le désert : éléphants, rhinocéros noirs, lions,
guépards, girafes, hyènes brunes, etc. Et puis il y a aussi tous ces êtres bizarres qu’il faut prendre le temps
d’approcher. Petits, furtifs, adeptes du camouflage, ils sont pourtant incroyablement captivants. Prenez le
Palmato Gecko, gecko endémique du Désert du Namib, avec sa bonne bouille, ses couleurs pastels, et sa
manie de se lécher les yeux pour les humecter (il est dépourvu de paupières), il vous fait craquer ; ou le
caméléon du désert, au physique moins facile certes, mais aux particularités tout aussi intéressantes : ultra
rapide, avec des yeux extraordinairement mobiles, une peau qui change de couleur en fonction de son état
émotionnel ou de la température et une langue qui peut atteindre les 30 centimètres ! Bref, ce n’est qu’un
aperçu de la curieuse faune qui peuple cette contrée, et pour arriver à la dénicher et l’approcher, il vous
faudra les compétences d’un guide.
La Welwitschia Mirabilis, l’étrange centenaire
Décidément terre de l’insolite, le Damaraland abrite également une plante peu commune : la Welwitschia
Mirabilis, à la longévité et à la constitution remarquables. Elle vit en moyenne aux alentours de 600
ans, mais on a découvert des spécimens vieux de 2000 ans. Quant à son allure et sa taille assez
impressionnante (la plus grande Welwitschia affiche 1,40 mètres de haut sur 4 mètres de diamètre),
elles cachent une simplicité déconcertante : la Welwitschia ne possède que deux feuilles qui croissent
continuellement jusqu’à lui donner cet aspect de calmar végétal.
Le Spitzkoppe, une montagne de granit dans le désert
Enfin, comment ne pas évoquer le Spitzkoppe, cet énorme rocher planté au milieu du désert qui offre un
paysage d’une beauté inouïe. Amoncellement rocheux de granit, son plus haut point culmine à 1784 mètres
d’altitude alors qu’à 360° tout autour, un horizon plan se déroule à perte de vue.
La liste des choses étonnantes et bizarres que l’on peut trouver en Namibie ne s’arrête pas là, ce ne sont
que quelques amuse-bouches pour curieux. À partir de là, il est temps pour vous d’aller découvrir de vos
propres yeux les trésors cachés de ce pays, nous nous ferons un plaisir de vous concocter un voyage
singulier.
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Article de blog
Article écrit pour le blog d’une agence de voyage
Luxe au large de Pemba Island
Imaginez votre petite île personnelle flottant au milieu d’un lagon turquoise… Imaginez-vous, allongé
sur le pont par une nuit claire et douce, face aux milliards d’étoiles de la voûte céleste… Imaginez que
depuis les fenêtres de votre chambre, vous assistiez au ballet aquatique des habitants sous-marins du
récif corallien. Ce rêve de sérénité a pris forme près de Pemba Island, dans l’archipel de Zanzibar en
Tanzanie.
Une chambre sous les eaux du lagon
The Manta Resort propose depuis quelques mois un séjour dans une suite étonnante créée par l’artiste
suédois Mikael Genberg, spécialiste de constructions inattendues, dans l’eau ou dans les airs. La
structure se compose de trois niveaux : un toit/terrasse, d’où profiter du soleil pendant la journée et
des étoiles la nuit, un séjour et une salle de bain au niveau de la mer, et une chambre immergée à une
profondeur de quatre mètres, offrant une vue à quasi 360° dans les eaux claires du lagon.
Pour les amoureux de la plongée sous-marine
Vous aurez alors sûrement la chance de voir passer sous votre fenêtre un des innombrables êtres
au nom poétique qui peuplent le récif corallien : poisson chauve-souris, poisson trompette, poisson
papillon, poisson feuille, poisson de feu, demoiselle verte, murène ruban… Vous aurez bien sûr compris
que Pemba Island est un joyau pour les adeptes de plongée sous-marine. À 250 mètres de la côte,
sans personne d’autre que vous et celui ou celle que vous aurez choisi, vous ferez l’expérience d’un
luxe très contemporain fait de calme, d’isolement et de communion avec la nature.
Et si jamais la solitude vous pèse, vous pourrez toujours faire un saut sur la terre ferme pour découvrir
Pemba, l’Île verte, ses mangroves et ses forêts luxuriantes, ou pour dîner au restaurant de l’hôtel, les
pieds dans le sable.
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Article de blog
Exemple d’article de blog de vulgarisation scientifique
Tout savoir sur les étoiles filantes
La vue d’une étoile filante provoque très souvent un enthousiasme enfantin et l’heureux témoin de cette
magique apparition est invité à faire un vœu. Mais d’où viennent donc ces zébrures lumineuses et furtives
traversant le ciel nocturne ? Vous l’avez deviné, les météores, autre nom de ce phénomène, ne sont ni des
fées en goguette, ni de timides astres cherchant à échapper à nos regards inquisiteurs. Ce ne sont même
pas des étoiles qui s’embrasent et disparaissent pour un dernier tour de piste.
Comment naissent les étoiles filantes ?
A l’origine, un petit corps appelé météoroïde, issu de la désagrégation d’un astéroïde ou d’une comète, erre
dans le système solaire pendant quelques millions d’années jusqu’au moment où il est pris dans le champ
gravitationnel d’une planète.
Ça sent le gaz !
Lorsqu’il est capturé par l’attraction de la Terre, le météoroïde débarque dans la haute couche
atmosphérique à une vitesse allant de 11 à 73 km/s. Plus il pénètre dans l’atmosphère et ses couches les
plus denses, plus l’air autour de lui chauffe et perd de la charge électrique, c’est la ionisation. Le corps
subit alors une vaporisation, c’est à dire qu’il se transforme en gaz. C’est ce gaz très chaud et ionisé,
appelé plasma, qui forme la traîne lumineuse du corps céleste. Le météoroïde, soumis à de très hautes
températures, finira par se désintégrer.
Le grain de sable, le petit pois et le bolide
La taille d’un météoroïde varie entre trente microns et un mètre. Les étoiles filantes sont formées par
les plus petits d’entre eux, de la taille d’un grain de sable à celle d’un petit pois. Lorsque la taille est plus
importante, le passage dans l’atmosphère donne naissance à un disque très lumineux que l’on nomme
bolide. Les plus gros météoroïdes ne se désintègrent pas complètement au passage de l’atmosphère et
lorsqu’ils atteignent la terre, sont appelés météorites. On peut en apprendre plus dans les livres si l’on s’y
intéresse !
Où et quand voir les pluies lumineuses ?
Les étoiles filantes sont qualifiées de sporadiques si elles sont issues d’objets indépendants se déplaçant
seuls dans l’espace interplanétaire. En revanche, lorsque des poussières laissées par la queue d’une comète
croisent l’orbite de la terre, ces essaims météoriques donnent naissance à des pluies d’étoiles filantes.
À l’heure au rendez-vous
La Terre, dans son orbite autour du soleil, croise périodiquement certains essaims, nous permettant de
prévoir précisément le moment de l’année où nous pourrons les contempler. Par un effet d’optique, ces
météores semblent toutes provenir d’un même point qui bien souvent se situe dans une constellation.
L’averse lumineuse sera ainsi baptisée d’après la constellation d’où elle semble provenir.
Perséides et compagnie
Il existe un grand nombre de pluies météoriques observables tout au long de l’année, mais toutes n’ont pas
la même intensité. Les Quadrantides en janvier, les Léonides en novembre ou les Géminides en décembre
donnent souvent lieu à d’intenses pluies, mais la plus populaire est sûrement celle des Perséides, qui a lieu
chaque année entre le 17 juillet et le 24 août, avec un pic aux alentours du 12 août. Il est vrai que l’été et les
vacances se prêtent mieux aux nuits à la belle étoile.
Cherchez alors un endroit loin de toute pollution lumineuse, en montagne, à la campagne ou en mer,
n’oubliez pas une chaise longue pour éviter les torticolis, une couverture et un thermos, sans oublier une
réserve de vœux, et laissez-vous porter par l’émerveillement.
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Article de blog
Exemple d’article de blog de vulgarisation scientifique
Cerveau plastique : Ça bouge là-dedans !
Le cerveau, ce fascinant inconnu
Le cerveau est l’organe le plus envoûtant de l’être humain. C’est sûr que le foie, la rate ou l’intestin, bien
que très utiles, ne présentent pas le même potentiel de fascination. Le cerveau, lui, est mystérieux. Nous
sommes censés en être les propriétaires, mais nous ne connaissons pratiquement rien de lui. Nous pensons
que nous sommes aux commandes, mais il gouverne notre corps, malgré nous.
Au trou, les vieilles théories
J’ai grandi à une époque où l’on disait encore que notre cerveau était fini, verrouillé dès l’enfance, figé avec
ses possibilités à un instant T. Le nombre de neurones reçus en cadeau à la naissance ne feraient que
décroître avec le temps. Les plus chanceux, ceux arrivés sur terre avec un bon patrimoine génétique et
ayant été suffisamment stimulés dans les premières années de leur vie, seraient les grands gagnants de la
course. Vu comme ça, c’était un peu déprimant. S’il est toujours reconnu que l’environnement de l’enfant,
notamment affectif, est primordial pour son développement, les découvertes faites ces dernières années
sur le cerveau, en particulier sur le cerveau adulte, sont enthousiasmantes.
Cet inconnu qui nous veut du bien
Adultes, jeunes vieux et vieux confirmés, réjouissez-vous ! Tous les espoirs sont permis (presque tous), de
vieillir dans de bonnes conditions si nous y mettons un peu du nôtre. Le cerveau, cet inconnu, nous veut du
bien, mais pour ça, il va falloir lui faire confiance.
La plastique de mon cerveau plastique
Oui, notre cerveau est beau, mais ce n’est pas son attrait premier. Il a surtout une beauté intérieure car il a
la magnifique propriété d’être plastique.
La plasticité, kezako ?
La plasticité, c’est la capacité d’un corps à changer de forme sous l’effet d’une action et à conserver cette
forme une fois que l’action a cessé. Pour faire une comparaison, un corps élastique lui, va retrouver sa
forme quand l’action aura cessé.
Quand on parle du cerveau, la plasticité signifie qu’il peut tout simplement changer sa structure. En
fonction de différents facteurs, certaines zones vont grossir tandis que d’autres vont se ratatiner. Mais
des zones ratatinées (ou j’aime bien ce mot) peuvent à nouveau se développer, tout comme des zones
développées peuvent rabougrir. Stupéfiant non ? Bon, du coup, peut-être serait-il plus juste d’appeler ça
l’éplasticité (un compromis entre plasticité et élasticité).
Mais, mais… Comment est-ce possible ?
Au début était le neurone
Le neurone est une cellule du système nerveux spécialisées dans la communication et le traitement de
l’information. Nous en avons environ cent milliards dans notre tête. La synapse est la connexion entre deux
neurones. Pour chaque neurone, il existe entre 1000 à 10000 synapses et leur nombre peut s’accroître selon
que le neurone est sollicité ou non.
Lumière à tous les étages !
Pour faire simple, l’information dans le neurone circule sous forme d’impulsion électrique (100 000 fois
inférieur à une prise électrique) dans les neurones ou sous forme chimique au niveau des synapses. Le tout
ressemble en fait à un vaste réseau routier où l’information, sous forme d’impulsions électriques, circule
sans cesse entre les neurones. Au repos, notre cerveau génère entre 10 et 40 watt, de quoi éclairer une
petite pièce.
Lire la suite sur mon blog: www.mumuestmure.fr
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Portraits d’artiste
Présentations d’artistes peintres pour leur site web : Pier et Henri Lauga
Le Pays basque intemporel de Pier
Visiter l’oeuvre de Pier, c’est un peu comme tourner les pages d’un album de famille, celle des
basques, dont Pier capture la vie quotidienne en aplats de couleur aux contours précis. Dans
cette partie résolument narrative du travail de Pier, l’apparente simplicité de la forme fait ici écho
à celle, concrète, de la vie qui s’écoule, jalonnée de journées de travail, de jour de fêtes, de jeux,
de mort.
Parfois, l’émotion prend le pas sur l’histoire, ébranle les repères, brise la surface lisse des choses
et des gens. Les formes alors se fragmentent, en éclats colorés ou monochromes, laissant
émerger la nature plus profonde de l’artiste. Dans cette zone secrète d’où jaillit l’expression
la plus mystérieuse de la perception, la joie et la vitalité prédominent. Que ce soit dans les
scènes intimistes, les fêtes ou les paysages, et même dans les sujets évoquant la mort, l’énergie
déstructurante donne naissance à une explosion de couleurs et de formes, parfaitement maîtrisée
en une construction rigoureuse, une sorte de désordre ordonné révélant la totale maîtrise de
l’artiste sur son art.
La main de Pier, prolongée de son pinceau prismatique, ouvre à chaque tableau une fenêtre
sur un Pays basque intemporel et une vie intérieure vibrante, nous invitant à partager son
émerveillement.
Henri Lauga – Peintre naïf
La guerre et ses geôles, et plus tard les sombres bureaux de l’administration, ont fait grandir
en moi l’univers de mon enfance : champs dorés des moissons de juin, la place du village,
effervescente transhumance et fêtes champêtres… Plus l’univers se rétrécissait autour de moi,
plus en moi l’espace grandissait. Il fallait que jaillisse ce souffle créateur. Les formes et les
couleurs poussaient les portes, ma main se mit à dessiner, je pris des cours à l‘école de dessin de
Bayonne.
C’était le début des années 60. Mon professeur Louis-Frédéric Dupuis, qui depuis quelques
années déjà, explorait son propre chemin pictural, m’encouragea à laisser parler ma spontanéité, à
faire fi des barrières académiques et parcourir mes paysages intérieurs.
C’est en 1964, lors de ma première exposition à Paris, à la galerie Mona Lisa, que le critique d’art
Anatole Jakowsky officialise mon entrée dans le monde des peintres naïfs, à la suite de quoi, je
n’ai cessé de peindre et d’exposer.
Si mon enfance béarnaise a jeté les fondations de mon inspiration, ma vie au pays basque,
près du puissant océan, a continué à alimenter ma source. Le port, les pêcheurs, les scènes
traditionnelles du folklore basque, la montagne, la famille, toute cette vie simple nourrissait mon
besoin de sérénité. Ma quête de peintre fut de tenter de capturer sur la toile ces bribes de
bonheur, fugaces et inaltérables.
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Divers
Publireportage réalisé pour une édition spéciale du magazine Nouvel Obs.
Any Romero, relookeuse d’objet
Clous, vis, boutons, pièces de métal, fils, rivets, bouts de tissus, morceaux de cuir, bois flottés,
carcasses de fauteuils. Ceci n’est pas un inventaire à la Prévert mais les objets qui peuplent
l’atelier d’Any Romero. Et si ces derniers ont une vie secrète, il y a fort à parier que lorsqu’Any
entreprend la création d’une nouvelle pièce, c’est la foire d’empoigne dans les boîtes de
pièces détachées pour être dans le casting !
Comment une humble corne de chèvre aurait pu imaginer plus beau destin que celui de finir
sa vie habillée d’or, couronnant le velour rouge du fauteuil matador ? Qui aurait pu croire que
ce modeste cube de contre-plaqué devienne, vêtu de peaux de serpent et de léopard, le
chouchou de Madame ? Personne n’aurait pu savoir tout ça, sauf Any Romero qui sait déceler
le talent caché des objets en les associant et en les magnifiant.
Alors, si dans un coin reculé de votre salon, traîne une vieille chaise qui ne trouve plus grâce
à vos yeux, ou si votre couloir est hanté par un meuble anonyme mais néanmoins très utile,
n’hésitez pas à les confier à Any Romero ; entre ses mains, ils feront leur grand retour.
loup
Biarritz, entre chien et loup
L’Hôtel du Palais, la Grande plage, le Rocher de la Vierge, le Phare Saint-Martin, tous ces noms
évoquent Biarritz et font sa renommée. Pourtant, que seraient ces lieux sans la diva insaisissable
règnant ici ?
La lumière habille Biarritz. Au fil du temps, au gré de ses humeurs, chaque jour différente, des
ciels anthracites à la voute d’azur profond, elle joue de sa palette sur la côte rocheuse. Mais
l’heure du grand spectacle, son heure à elle, c’est lorsque peu à peu, elle cède la place aux
ombres. Les êtres deviennent silhouettes, les paroles se font sourdes, le ciel avale la clarté
et elle, offre son grand final. Selon le temps et la saison, ce seront des flamboiements de
pourpre et d’or, de délicats drapés de roses et de violets, ou des volutes bleues, sombres et
menaçantes. Devant tant de beauté, les yeux et le coeur semblent trop étroits. On reste ainsi
un long moment, jusqu’à ce que l’ombre devienne maîtresse, comme suspendus aux lèvres d’un
grand mystère.
Ce passage délicat du temps, propice au spleen, a depuis quelques années une tonalité
féérique. À présent, les clairs-obscurs du crépuscule se parent de doux éclats lumineux semés
sur les roches et sur les façades. Un artiste y a déposé sa touche. Du Phare Saint-Martin au
Port Vieux, les illuminations créées par l’homme composent un tableau juste, et simplement
beau. La Ville a confié à Pierre Bideau, architecte de lumière, concepteur notamment de
l’éclairage de la Tour Eiffel, la mise en scène de la bande de littoral. Il a su créer avec talent un
écho nocturne à la diva Lumière, et chaque soir, entre chien et loup, c’est sous les tendres
projections de clartés qu’elle tire sa révérence.
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Vins de soleil pour tables d’hiver
En avant-goût de la dégustation du 7 novembre, nous vous invitons à une escapade ibérique, le temps
d’un week-end prolongé, le temps d’une page pour découvrir les terres sur lesquelles naissent les vins que
nous aimons.
Étape 1 - Getaria et le Txakoli
En guise d’apéritif, notre voyage commence à Getaria, petit port situé à une trentaine de kilomètres
à l’ouest de San Sebastian où la parillada (poisson grillé) préparée sur des grils en plein air devant les
restaurants, titille vos narines à chaque coin de rue. De certaines rues, vous pourrez d’ailleurs apercevoir les
coteaux entourant le village où l’on cultive le hondarribi zuri, cépage local servant à élaborer le Txakoli. Ce
vin blanc pétillant et léger qui claque sur la langue à l’heure des tapas, accompagnera aussi bien le turbot
ou la dorade grillée que vous dégusterez face au port.
Étape 2 - Valladolid et le Ribera del Duero
De Getaria, nous partons à Valladolid, à quelques trois cents kilomètres au sud-ouest. Nous sommes au
pays du “cordero asado”, l’agneau de lait rôti, spécialité que l’on retrouve dans toute la Castilla y León. Ce
plat est un délice de la gastronomie espagnole qui se marie parfaitement avec les vins élaborés dans cette
région, des rouges fruités et tanniques qui vieillissent merveilleusement bien. Leur robe est sombre, leurs
tannins sont doux et en bouche, ils développent des arômes de prunes. C’est de cette appellation que
provient le vin que certains appellent le “Petrus espagnol” : Vega Sicilia. Beaucoup d’entre vous connaissent
déjà Marquès de Velilla, bodega située à la Horra, dont G.R. Vins commercialise les vins depuis déjà
quelques années. Lors de notre dernière escapade, nous avons rapporté une nouveauté qui mérite toute
notre attention : Pinna Fidelis Roble 2002. Ce rouge qui a fait un bref séjour en fût de chêne présente un
superbe équilibre de soyeux et de fruité. Vous aurez le plaisir de le découvrir lors de la dégustation.
Étape 3 - Logroño et la Rioja
Nous reprenons la route vers le nord pour rejoindre La Rioja. Après une visite à las Bodegas Campillo
situées au bas du très joli village médiéval, Laguardia, nous faisons halte pour une nuit à Logroño, capitale
de cette région viticole, attirés par “le chemin des éléphants”. Ce parcours concentré pour l’essentiel autour
de deux rues, la Calle Laurel et la Calle San Juan, est appelé ainsi par les amateurs de tapas, qui, tels des
éléphants déambulant, s’approvisionnent aux différents points de ravitaillement en vin et en spécialités
de tapas balisant leur parcours. Et il faut croire que les éléphants digèrent très vite tant les points de
ravitaillement sont nombreux et proches ! Le choix des vins au verre est à la hauteur de la réputation de
cette région. Du “joven” (vin jeune) au reserva, pratiquement toutes les bodegas de la Rioja sont présentes
sur le zinc. Nous vous conseillons cependant de déguster les crianzas et reservas au moment du repas qui
suivra. Un rioja jeune et frais est le vin idéal à déguster avec les pinchos (tapas).
Étape 4 - Cascante et la Ribera del Queiles
Pour terminer notre périple, nous redescendons légèrement, une centaine de kilomètres au sud-est, pour
saluer la famille Guelbenzu. Implantée à Cascante depuis plusieurs générations, elle a donné naissance à
ces vins que beaucoup d’entre vous apprécient énormément : Azul, Evo et Lautus. Depuis 2001, Guelbenzu
exploite une nouvelle bodega situé à Vierlas, au pied du Moncayo, à quelques kilomètres de Cascante. Le
nouveau vin sorti de cette bodega se nomme aussi Vierlas et surprend par la combinaison de son fruité et
de ses notes épicées apportées par la grenache.
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Cadeaux de fêtes pour amateurs de vin
Il est assez simple de faire plaisir à un amateur de vins. Les bons flacons ne manquent pas, il suffit de
connaître un peu les goûts de la personne que l’on souhaite gâter. Est-il, est-elle, plutôt blanc ou plutôt
rouge ? Traditionnel ou innovateur ? Exubérant ou réservé ? Casanier ou baroudeur ? Pour chaque
personnalité, il existe un cadeau approprié.
Pour les festayres, la caisse «Toro» s’impose
Le fan d’ambiances festives telles qu’on les connait dans notre région sera heureux comme un enfant
avec une caisse de six bouteilles à plat, panachée de vins espagnols et marquée du logo “Toro”. Vous
pourrez même y glisser à l’intérieur un foulard des fêtes sur lequel on retrouve la tête de taureau
dessinée par Pier.
Les baroudeurs aimeront la caisse «Marcheur»
La caisse de six bouteilles marquée du marcheur de G.R.Vins évoque aussi bien les plaisirs simples,
proches de la nature, que l’esprit d’aventure. Ainsi, composée de vins régionaux, Jurançon, Irouleguy,
Bordeaux, elle plaira aux personnes amoureuses de notre région. Garnie de vins d’horizons différents
(Côtes du Roussillon, Espagne, Chili, Bordeaux), elle fera le bonheur d’un esprit curieux, avide de
découvertes.
Le coffret «Duo» de Ruinart séduira les fleurs bleues
Vous ferez mouche auprès d’une personnalité charmeuse, pétillante et délicate avec un coffret duo de
Ruinart Rosé ou Blanc de Blancs. La magnifique maison de champagne offre un éventail de cadeaux
sublimes et le choix ne manque pas pour combler les amateurs de fines bulles.
La caisse «Jadis» de Bourgeois, une valeur sûre de la tradition
Par son nom et par sa typicité, le Sancerre Jadis évoque la tradition, les valeurs sûres qui sont nos
repères. Ce vin est le résultat merveilleux de l’héritage familial d’un savoir-faire et d’un terroir. Sa force
et sa finesse plaira à une personne particulièrement attachée à la qualité et à l’authenticité, et qui aime
partager des moments rares avec ses proches.
Pour les inconditionnels de Bordeaux
Enfin, le connaisseur inconditionnel de Bordeaux n’est pas forcément le plus facile à contenter. En tant
que fin amateur, il a ses appellations, ses châteaux et ses millésimes préférés. Soit vous détenez déjà
le secret de ses goûts, soit vous enquêtez auprès de ses proches. Vous devrez ensuite choisir entre un
vin à encaver ou une bouteille prête à boire.
Enfin, le plus simple : déterminer le budget ! Une fois ces éléments rassemblés, il sera déjà plus aisé de
faire un choix. Quel que soit le cas de figure, n’hésitez pas à nous demander conseil.
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Article de blog
Sans vouloir vous tenir le crachoir, un peu d’histoire...
Les temps changent et les règles de bonne conduite aussi. Le professeur Simon Chapman explique, dans un
article où il évoque le crachement en public1, qu’au Moyen Âge en occident, il n’était pas de bon ton de cracher
sur, ou par-dessus la table. Cette précision sous-entend que vous pouviez, si l’envie vous prenait, déposer votre
production glaireuse aux pieds de votre voisin de table. Bon appétit !
Crachez, crachez, il en restera toujours quelque chose
L’habitude de cracher un peu n’importe où a continué ainsi jusqu’à la fin du XIXe siècle, lorsque Robert Koch a
mis en lumière le bacille responsable de la tuberculose. Le médecin allemand comprend alors que ces crachats
semés à tout vent regorgent de bactéries et sont un vecteur de contamination de la maladie. Il recommande
alors l’utilisation de crachoirs dans les lieux publics, voire de crachoirs individuels pour les phtisiques avérés. Les
crachoirs communs, placés un peu partout sur le chemin des hommes, au sol dans les bureaux ou carrément au
comptoir dans les bistrots, permettaient à chacun de soulager à tout moment ses bronches ou sa bouche.
Chic, on chique, on crache !
Mais pourquoi ces hommes avaient-ils besoin de cracher sans cesse ? Une des raisons est à chercher du côté
du tabac. Avant d’avoir l’habitude de le fumer, on le prisait (autrement dit, on le fourrait dans son nez), on le
mâchait, ou encore, coincé entre la gencive et la lèvre, on le chiquait. Il fallait bien évacuer régulièrement le surplus
de jus (vous avez encore faim ?). En Amérique, les saloons faisaient notamment la part belle à ces objets de
soulagement, en disposant des bassinets tous les mètres au pied des comptoirs ou aux quatre coins de la pièce.
Autres temps, autres mœurs
Dès le début du XXe siècle, le crachat a de moins a moins la cote en France. Le tabac à fumer entre dans les
mœurs. Il évite de cracher et semble donc plus hygiénique que le tabac à chiquer. En 1918, la grippe espagnole
donne le coup de grâce officiel à l’usage du crachoir. Ce qui était un élément de santé publique quelques
décennies auparavant, devient un objet indésirable, susceptible de propager le virus.
Cracher ou ne pas cracher, telle est la question
Ennemi de l’hygiène, le crachement devient peu à peu une habitude très mal vue et le comble de l’indélicatesse
dans de nombreux pays, dont la France. Chose étrange, alors que les adeptes du crachat sont montrés du doigt
en occident, ils sont tout à fait tolérés, voire encouragés, dans d’autres pays tels que la Chine. La santé est encore
une fois invoquée pour justifier cette pratique. Chez nos amis extrême-orientaux, garder les glaires n’est pas du
tout hygiénique et celles-ci devraient être systématiquement expulsées à l’extérieur du corps.
Jamais sans mon crachoir
Aujourd’hui, le crachoir est un objet que l’on cantonne aux salles de dégustation et longtemps, seuls les
professionnels du vin se servaient de cet accessoire. Son utilisation est revenue sur le devant de la scène pour
des raisons de santé publique. Depuis l’application de la loi relative à l’alcoolémie au volant, cracher le vin est
devenu une obligation dans de nombreuses occasions. Faire une dégustation chez un propriétaire en avalant
chaque gorgée et reprendre gaiement le volant n’est plus vraiment d’actualité, et c’est très bien ainsi. L’alternative
pour les amoureux du vin qui veulent continuer à se faire plaisir est donc de recracher.
On ne prête pas son crachoir !
Mais voilà, 2020 et la surprise Covid-19 sont passés par là. Le virus change à nouveau la donne, rendant postillons
et crachats encore moins tolérés. Le crachoir doit encore évoluer, pour nous permettre de cracher le vin sans faire
prendre de risques à nos voisins ; le crachoir individuel s’impose donc aujourd’hui. Cracher le vin, c’est bien pour
contrôler son alcoolémie, le faire dans un crachoir individuel, c’est encore mieux.
RÉDACTION
Article de blog
Crachez ce vin que vous ne sauriez boire !
Être un amateur de vin éclairé de nos jours, c’est savoir recracher le vin. La pratique, longtemps réservée aux
professionnels du vin, s’est largement répandue chez les amateurs. La passion du vin est devenue un phénomène
de société au cours des trente dernières années, tandis que les campagnes de santé publique et de sécurité
routière pointaient du doigt la consommation d’alcool. À la croisée de ces deux tendances, recracher le vin apparaît
comme un bon compromis.
L’heure n’est plus à boire, mais à recracher
Les vignerons ont bien compris l’enjeu d’éduquer les amateurs à la dégustation. Avec le développement de
l’œnotourisme et la mise en place de lois relatives à la sécurité routière ou tout simplement à la santé, inciter les
visiteurs à recracher le vin est devenu une priorité pour les propriétaires de vignobles. Les vignerons ne seront donc
pas vexés si vous recrachez leur vin, ils seront même contents, car cela voudra dire que vous pourrez déguster plus
de vins et plus longtemps.
En 2019, Vin & Société, organisation qui représente les quelque 500 000 professionnels de la production et du
négoce de vin, a même lancé une campagne pour sensibiliser à l’acte de recracher le vin en dégustation.
Je recrache donc j’apprécie
Il n’y a pas de secret, devenir un bon amateur de vin, c’est s’entraîner à déguster. Et pour s’entraîner, là encore, pas
de mystère, il faut recracher le vin, sinon vous n’irez pas bien loin. Vous ne serez plus capable d’apprécier ce que
vous buvez, car vos sensations gustatives seront rapidement émoussées et votre alcoolémie vous rendra inapte à
avoir un jugement clair.
La rétro-olfaction, l’amie des cracheurs
D’un point de vue strictement gustatif, avaler le vin, contrairement à ce que l’on pourrait croire, n’aide pas à mieux
le goûter. C’est en bouche que vous découvrirez toute la palette des arômes d’un vin en tirant partie des effets
de la rétro-olfaction. La rétro-olfaction, ou voie rétronasale, est le phénomène physiologique qui vous permet de
ressentir les arômes des aliments qui sont dans votre bouche. En dégustation, ce mécanisme est volontairement
amplifié par une suite d’actions qu’il faut apprendre à maîtriser.
La tactique du goûteur : aérer, agiter, recracher
Le vin en bouche doit d’abord être oxygéné par l’inspiration d’un petit filet d’air, puis agité en le faisant circuler
à l’intérieur de la bouche. L’air ainsi au contact des composés volatils du vin atteint le bulbe olfactif. C’est à ce
moment-là que vous allez sentir les arômes du vin, confirmant les parfums d’abord perçus avec le nez, lors de la
phase olfactive de la dégustation. Bien souvent, la rétro-olfaction vous fera découvrir encore de nouveaux arômes.
C’est donc au niveau de la bouche et du nez que la dégustation a lieu. Une fois votre vin avalé, il ne vous dira rien
de plus quant à ses arômes et saveurs. Pourtant, lorsqu’on débute, cette technique n’est pas évidente, et on a
souvent l’impression de perdre quelque chose si le vin n’atteint pas la gorge. Voilà donc le parfait challenge pour
l’apprenti dégustateur : apprendre à tirer le meilleur du vin sans en avaler une goutte.
De la détermination dans le crachement
Il faut ensuite maîtriser le crachement et comme le reste, cela s’apprend en s’entraînant. Le crachoir doit être
approché de la bouche (ne pas tenter le concours de celui qui crache le plus loin, ça fait tache en dégustation), on
pince les lèvres et avec détermination, on projette un filet bien dirigé vers le récipient. L’hésitation ou l’expulsion
mollassonne n’est pas de mise ici. Si vous voulez éviter de baver sur votre menton ou sur votre chemise, vous
devez y aller franco, mais sans précipitation.
Pour que l’action soit complète et efficace, il est conseillé de recracher une seconde fois. Après avoir expulsé le vin,
en faire de même avec la salive qui contient encore des résidus d’alcool. Entre deux vins, vous pouvez aussi boire
de l’eau et grignoter un morceau de pain pour reposer vos papilles.
Chacun son crachoir et les germes seront bien gardés
En 2020, la pandémie de Covid-19 a rebattu les cartes. Recracher le vin n’est pas vraiment compatible avec les
consignes de sécurité pour contenir la propagation du virus. Ce n’est pas compatible, sauf si on utilise des crachoirs
individuels et qu’on garde ses distances avec ceux qui nous entourent. Alors, si vous voulez continuer à donner libre
cours à votre passion sans prendre de risque, soyez responsable en étant égoïste, optez pour le crachoir individuel.
RÉDACTION
Article de blog
Le personal branding ou le meilleur de soi (extrait)
À l’heure de individualisme roi et du développement personnel, le personal branding a la cote. Les
dirigeants d’’entreprise sont appelés à se mettre en avant pour donner figure humaine à leur organisation.
Il ne suffit plus d’avoir un produit, il faut avoir une personnalité. Faire de sa singularité un atout pour son
entreprise est une belle et séduisante idée, mais ce choix marketing est-il vraiment pour tout le monde?
Chacun peut-il en tirer avantage ? Quels sont les atouts de cette tendance et les écueils à éviter ?
Le personal branding, la fabrique de la légende
Le personal branding ou marketing personnel consiste à construire, pour un public déterminé, la réputation
d’une personne (personal brand ou marque personnelle), sur la base de son expertise, de ses réalisations
et de ses valeurs. L’objectif est d’asseoir l’autorité de l’individu dans un domaine précis en associant ses
compétences à sa singularité et lui permettre ainsi de se démarquer de la concurrence.
Aux grands hommes le marketing reconnaissant
L’idée de laisser une trace dans le monde par sa singularité n’est pas née avec le web. Tous les êtres qui
ont marqué l’histoire avaient des qualités exceptionnelles et souvent une bonne dose de charisme, qu’ils en
aient fait ou non bon usage. Leur caractère particulier, mélange de talent, de compétences et de valeurs, a
créé leur aura si singulière. Avec le temps, cette aura a fini par se concentrer en une seule qualité, ellemême bien souvent associée à une image. L’esprit de conquête d’un Napoléon a pris forme en la posture
fière d’un homme, une main glissée dans son gilet, le génie littéraire d’un Victor Hugo s’est figé dans une
attitude de penseur à la barbe blanche, l’intégrité du Général de Gaulle s’est personnifiée dans son grands
corps droit et un peu gauche, en habit militaire. Toutes les grandes figures ont fait du personal branding
malgré elles.
La fabrique des légendes à l’heure du consumérisme
Dans notre société de consommation, les conquérants sont devenus chefs d’entreprise, et internet
leur permet de passer de l’ombre à la lumière. Ce n’est pas un hasard si l’idée de personal branding a
émergé en 1997, alors que le web venait de naître. L’avènement d’internet a fait éclore des possibilités
insoupçonnées pour que chacun puisse créer sa propre légende. C’est Tom Peters qui en parle le premier
dans un article du magazine d’affaires américain Fast Company. En visionnaire, il a déjà compris comment
l’individu allait pouvoir tirer partie du web : “...asseyez-vous et posez-vous une question... pour définir votre
marque : pour quoi je veux être célèbre ?” Ce n’est plus l’histoire qui bâtit les grands hommes, c’est le
marketing, propulsé par la formidable machine internet.
Le personal branding du dirigeant d’entreprise : la connexion
L’entreprise à visage humain
L’entreprise n’est pas la marque, elle en est la partie immergée. Le dirigeant en revanche peut être celui
qui plante le drapeau au sommet de l’iceberg. Il a un rôle crucial dans l’image que renvoie son organisation,
et plus particulièrement la marque. En tant que responsable, il influence, voire insuffle la vision, la stratégie,
le leadership et les valeurs, en un mot il donne de la cohérence. Et la compréhension de cette cohérence
est nécessaire au dirigeant pour développer une marque personnelle. L’image qu’il véhicule doit être
en adéquation avec celle communiquée par la marque ou l’entreprise. Il est le prolongement humain de
l’organisation et représente en quelque sorte sa caution morale.
Faire vibrer la corde émotionnelle
Aux qualités professionnelles attendues d’un dirigeant, le personal branding va ajouter et mettre en lumière
des qualités personnelles qui donneront corps aux valeurs. Le résultat doit être le renforcement d’un
lien, une confiance qui se crée sur des données émotionnelles, non factuelles. La communication autour
d’une marque se construit sur l’affectif, c’est encore plus vrai avec le personal branding, notamment d’un
dirigeant. Par effet de vases communicants, l’entreprise acquiert alors une personnalité, elle n’est plus
anonyme et devient une entité plus proche, presque palpable.
RÉDACTION
Newsletter
Article écrit pour la newsletter du Groupe AGS
Le Groupe AGS compte deux nouveaux CCEF
Depuis le 1er juillet 2017, le groupe AGS compte parmi ses directeurs deux nouveaux conseillers du
Commerce extérieur de la France (CCEF). Sophie Lucas, directrice générale d’AGS Déménagement
France et Laurent Morel, directeur d’AGS Déménagement Égypte, ont été nommés par décret du premier
ministre pour une période de trois ans.
Être conseiller du Commerce extérieur de la France signifie avoir été choisi pour sa compétence et
son expérience des marchés internationaux. Les CCEF ont une mission d’information, de conseil et
d’accompagnement envers les entreprises françaises qui souhaitent développer leurs affaires à l’étranger.
Leur aide est également dirigée vers les jeunes à l’égard desquels ils ont une mission de sensibilisation
et de formation aux métiers de l’international, notamment dans le cadre du dispositif du Volontariat à
l’International en Entreprise (V.I.E).
Sophie Lucas, directrice générale d’AGS France
Être CCEF est un engagement dans lequel Sophie Lucas s’investit avec enthousiasme : « Je souhaitais me
lancer dans une action citoyenne, m’investir aux côtés des CCE pour promouvoir le développement des
entreprises françaises à l’étranger et défendre l’attractivité de la France. »
Entrée chez AGS en 1994, aujourd’hui directrice générale d’AGS France, Sophie a débuté au Ghana en
tant que responsable d’agence. Pendant ces 23 années au service du groupe, elle a occupé des postes
à responsabilité dans l’opérationnel, le commercial, le marketing et la gestion, toujours en relation avec le
marché international. Avec sa créativité comme source d’inspiration, Sophie aime réfléchir aux solutions
qui permettent une amélioration à tous les niveaux de l’entreprise et mettre en œuvre ensuite les actions
appropriées : animer une formation, mettre en place un plan d’action, gagner un nouveau marché... Elle
nous confie que son principal challenge est la gestion du temps : « Il faut savoir passer d’un sujet à
l’autre avec une grande flexibilité tout en restant efficace, afin de répondre aux questions de tous les
interlocuteurs (clients internes, externes, collaborateurs, directions) et leur permettre d’avancer dans leurs
tâches tout en conservant ses propres priorités à l’esprit. » Dirigeante pragmatique, celle qui est aussi
vice-présidente de FIDI France voit également dans cette mission l’intérêt de l’entreprise : « Travailler avec
les acteurs français de l’international m’enrichira de leur expérience et des enjeux auxquels ils font face
quotidiennement, et cela m’aidera sûrement à mieux servir nos clients au quotidien. »
Laurent Morel, directeur d’AGS Égypte
Laurent Morel a débuté chez AGS en 2000. Entré à AGS Madagascar dans le cadre de la coopération
du service national à l’étranger, ancienne version de l’actuel V.I.E, Laurent occupe d’abord la fonction de
directeur des ventes jusqu’en 2002, puis de directeur adjoint jusqu’en mars 2004, date à laquelle il rejoint
AGS Égypte comme directeur de filiale. Gérant une quarantaine de personnes, la polyvalence est pour
Laurent une qualité essentielle pour mener à bien les défis quotidiens : « Un directeur d’agence doit avoir
des connaissances aussi bien en logistique, en ressources humaines, en commercial qu’en finance ou en
comptabilité » précise-t-il. Laurent nous confie que ce qu’il aime le plus dans son travail, c’est l’absence
de monotonie : « Chaque déménagement est une opération particulière pour des clients très différents
les uns des autres qui peuvent être des particuliers, des sociétés ou des ambassades, et qui viennent des
quatre coins du monde ».
Résidant en Égypte depuis treize ans, Laurent souhaite faire part de son expérience et de sa vision interne
du pays à ses collègues CCEF : « Notre métier nous permet d’être informés sur les sociétés qui arrivent
en Égypte ou en repartent. J’ai envie de partager les tendances que j’observe et de donner la vision d’une
PME au sein d’un comité constitué par des entreprises de taille plus importante. »
Nous sommes certains que Sophie et Laurent relèveront ce nouveau défi avec brio. Nous les félicitons
pour leur engagement et leur souhaitons un travail fructueux en tant que CCEF.
RÉDACTION
Bio (dossier de presse)
Bio écrite pour un dossier de presse, dans le cadre de la remise de la légion d’honneur
Bio Joëlle Castro
Une vocation internationale
Joëlle Castro est Directrice générale déléguée et Administratrice de MOBILITAS. Le groupe, spécialisé dans
les métiers de la mobilité et de l’archivage, compte près de 4 000 employés et possède 203 filiales réparties
dans 95 pays, en Afrique, Asie, Europe, dans les Caraïbes et au Moyen-Orient. Joëlle a participé à l’essor de
l’entreprise familiale devenue aujourd’hui un groupe international. Dès 1980, elle s’engage aux côtés de ses frères
pour développer AGS, la société de déménagement créée par leurs parents en 1974. Très vite, Joëlle affirme sa
préférence pour le développement commercial, notamment à l’international.
En 1992, elle prend la tête du département international d’AGS qu’elle vient de créer et développe l’activité
import/export des dix-huit filiales réparties sur l’hexagone. Sa capacité à établir des relations de confiance et
son esprit cosmopolite la conduisent dès 1997, à prendre en charge l’extension du réseau mondial de partenaires
avec lequel le groupe travaille. Dès lors, commence une période intense de voyages à travers le monde, afin de
développer et d’entretenir les relations avec les agents de l’industrie du déménagement.
Depuis 2001, elle participe, en tant que Directrice générale déléguée et Administratrice, à la prise de décision sur
la gestion et la stratégie de développement du Groupe MOBILITAS, maison mère du Groupe AGS. En 2016, elle
devient membre du Directoire du groupe.
Le recrutement et la formation des V.I.E (Volontaires internationaux en entreprise)
Le recrutement des V.I.E est un des projets que Joëlle Castro a porté le plus ardemment au sein du Groupe
MOBILITAS. À chaque création de filiale dans le monde, Joëlle a dessiné les profils des V.I.E. nécessaires à ces
lancements et a mis en oeuvre et appliqué le programme de formation de ces jeunes cadres avant qu’ils ne
s’envolent vers leur mission. Elle a également mis en place un programme post V.I.E. qui a permis au groupe
de recruter un très grand nombre d’entre eux à la fin de leur mission. Plus de 300 V.I.E. ont ainsi été recrutés,
formés et promus dans les filiales internationales du Groupe MOBILITAS.
Un engagement pour la promotion de l’entrepreneuriat à l’étranger
Parallèlement à sa carrière professionnelle, Joëlle s’est engagée auprès de diverses organisations qui promeuvent
les échanges internationaux. Depuis 2011, elle participe à de nombreuses missions commerciales pour le
LACMA (Association internationale des déménageurs caribéens et sud-américains). Nommée Conseiller
du Commerce extérieur (CCE) dans le comité départemental du Val d’Oise en 2012, elle s’implique dans le
parrainage d’entreprises souhaitant se développer à l’international. Joëlle a également effectué des missions à
l’étranger avec le CEEVO (Comité d’expansion économique du Val d’Oise), le MEDEF International et le MEVO
(Mouvement des entreprises du Val d’Oise).
Donner de la visibilité aux femmes dans le monde de l’économie
L’expérience acquise dans son entreprise et au sein de diverses organisations est une richesse que Joëlle
souhaite mettre au service de causes qui lui tiennent à coeur. Son engagement pour que les femmes soient
plus présentes et plus visibles dans le monde de l’économie l’a menée à participer à la création, en 2013, de
l’association des Femmes chefs d’entreprises du Val d’Oise (FCE 95), avant d’en devenir la présidente.
En 2014, Joelle Castro crée le groupe LACMA Ladies en Amérique du sud, aidée de ses partenaires
internationales de Colombie et du Mexique et de la directrice générale du Board Lacma. Elle en devient ensuite
la présidente. Le LACMA Ladies est constitué de plus de 120 femmes engagées, chefs d’entreprises, qui
s’attachent à promouvoir et valoriser les femmes et leur rayonnement à l’international.
Actions caritatives
Par le biais des associations dont elle fait partie, Joëlle participe à des actions pour venir en aide aux enfants
dans le besoin. LACMA Ladies soutient chaque année une association locale dédiée à la petite enfance
défavorisée. La récolte de fonds permet d’offrir aux enfants un environnement sécurisé qui assure leur éducation
scolaire. Les Femmes chefs d’entreprises du Val d’Oise organisent régulièrement des événements caritatifs.
En 2015, une soirée et un partenariat avec La Poste ont permis de récolter 11 000 euros de dons au profit de
Sparadrap, association pour les enfants malades ou hospitalisés. Chaque année, les FCE participent au Trophée
de karting Paul Parcillié pour la récolte de fonds au bénéfice de la lutte contre la mucoviscidose. En 2019,
l’association, partenaire d’une course à pied, recueillait des fonds pour la recherche contre le cancer du sein.
RÉDACTION
Communiqué de presse
AGS Maroc supervise le transport d’oeuvre d’art à travers
l’Afrique
AGS Maroc a été choisi par la Fondation pour le développement de la culture contemporaine
africaine (FDCCA) pour transporter les œuvres d’art d’une exposition itinérante d’art
contemporain à travers le continent africain.
L’exposition « Prête-moi ton rêve » a débuté en juin 2019 et continuera encore plusieurs mois
en 2020, à travers cinq pays d’Afrique. Elle rassemble plus de quarante œuvres réalisées par
28 artistes africains de notoriété internationale et de 15 nationalités différentes. Le projet a
pour ambition de montrer au public africain la vitalité de la scène artistique du continent.
L’expérience de la filiale d’AGS en matière de transport d’art a joué un rôle déterminant
dans le choix de la fondation. AGS Maroc a notamment eu en charge, en 2014, le transfert
d’œuvres d’art du Maroc vers l’Institut du monde arabe (IMA) à Paris pour une exposition sur
le Maroc contemporain.
Dans le cadre de l’exposition itinérante « Prête-moi ton rêve », AGS Maroc supervise le
transport des œuvres entre le Maroc et les différents pays d’accueil. Une première exposition
a eu lieu à Casablanca de juin à juillet 2019. La deuxième étape de cette tournée artistique
aura lieu à Dakar, au Sénégal et sera inaugurée le 6 décembre, à l’occasion du premier
anniversaire du Musée des civilisations noires. L’exposition restera à Dakar jusqu’en février
2020.
Dans chaque pays, la filiale AGS locale prendra en charge, sous la supervision d’AGS Maroc,
les œuvres de leur lieu d’arrivée (port ou aéroport) vers le lieu d’exposition.
Courant 2020, l’exposition fera halte à Abidjan en Côte d’Ivoire, à Adis Abeba en Éthiopie et
à Cape Town en Afrique du Sud. Enfin, « Prête-moi ton rêve » sera clôturé par une exhibition
des œuvres à Marrakech, capitale culturelle africaine en 2020.
RÉDACTION
Article web
Gestion documentaire : 6 bénéfices pour votre entreprise
De plus en plus d’entreprises externalisent la gestion de leur archives. À l’ère de la transformation numérique,
la facilité et la rapidité d’accès aux documents archivés pourrait bien devenir rapidement la norme. Quelle
que soit la taille de votre entreprise, confier vos archives à une société spécialisée est une solution qui mérite
d’être sérieusement envisagée. Pour vous aider à franchir le pas, nous avons listé six bénéfices majeurs de la
gestion documentaire qui peuvent booster votre entreprise.
Conformité juridique
La conservation des archives est une obligation pour les entreprises et les institutions. La durée légale varie
selon le type de documents, allant d’une année pour la comptabilisation des horaires de salariés à trente ans
pour le contrat d’acquisition d’un bien immobilier. Entre ces deux extrêmes, la conservation légale de cinq ou
dix ans est le cas de figure le plus courant. Toute entreprise doit être en mesure de présenter les documents
qui peuvent lui être demandés en cas de contrôle administratif, d’audit ou en cas de contentieux conduisant
devant un tribunal. Car conserver les bons documents est non seulement une obligation légale mais c’est aussi
une garantie d’être à même de défendre ses droits en cas de nécessité. La gestion documentaire est une des
priorités d’une entreprise si celle-ci souhaite pouvoir répondre à toute éventualité.
Garantie de sécurité
Depuis la mise en place du RGPD (règlement général sur la protection des données), les entreprises ont dû
renforcer de façon conséquente la sécurité des données personnelles qu’elles traitent quotidiennement. Une
gestion documentaire adaptée utilise des systèmes de traitement des informations qui éliminent au maximum
les failles de sécurité et garantissent une conservation des données la plus sûre possible. L’archivage permet
de mettre en place un suivi du document qui indique quand le document sort et qui le consulte. Confier vos
archives à une entreprise de gestion documentaire est également un bon moyen de garantir l’intégrité de vos
documents et de vous assurer, en cas de sinistre, de pouvoir redémarrer votre activité rapidement et dans les
meilleures conditions.
Meilleure organisation
Au fur et à mesure de l’évolution d’une société, le volume de documents qu’elle produit et reçoit est de plus
en plus important et peut devenir un frein à sa bonne marche. Confier ses archives à une société des gestion
documentaire est, pour une entreprise, une formidable opportunité de revoir en profondeur la façon dont ses
documents sont classés, traités, identifiés et conservés. À l’issue de cette réflexion, l’entreprise sera à même
de trier judicieusement ses documents.
Gain de temps
Le premier bénéfice d’une meilleure organisation est le gain de temps qu’elle procure. Le plan de classement
réalisé par l’entreprise lorsqu’elle se lance dans une mission d’archivage va donner lieu à la mise en place de
procédures. Non seulement, il sera plus facile de savoir si un document doit être classé ou s’il peut être détruit,
mais les procédures permettront d’identifier facilement les documents classés, de les localiser et d’y accéder
avec rapidité.
Gain de place
La place physique dont dispose une entreprise n’est pas un sujet mineur. La surface dédiée à la production et
aux bureaux est primordiale. Dégager de l’espace pour que les salariés puissent travailler dans des conditions
optimales fait partie des priorités des entreprises qui réussissent. Laisser le papier envahir l’espace de travail ne
devrait pas être envisageable. Heureusement, les entreprises spécialistes de la gestion documentaire existent
et apportent non seulement une solution organisationnelle mais également déchargent les entreprises de la
gestion physique de montagnes de documents en proposant un service d’entreposage d’archives.
Gain de productivité
Le gain de productivité découle naturellement d’une meilleure organisation, d’un gain de temps et d’un gain
d’espace. Un meilleur système de classement, combiné aux bonnes procédures, à un espace plus adapté et à
des documents rapidement accessibles conduit naturellement à plus d’efficacité dans le travail et donc à une
meilleure productivité.
RÉDACTION
Brochure institutionnelle
Textes écrits pour la présentation institutionnelle du Groupe MOBILITAS
Le transfert d’entreprise
L’acquisition, au fil des années, de marques solidement implantées dans leur propre pays a permis au
groupe de développer ou d’affermir sa présence à un niveau régional. Des enseignes historiques comme
Stuttaford Van Lines qui couvre l’Afrique australe, Pickfords en Afrique du Sud, Passies aux Pays-Bas,
Les déménageurs bretons et Démépool en France, apportent au réseau MOBILITAS leurs spécificités
et leur proximité avec le marché local. Ces marques sont particulièrement dédiées aux déménagements
domestiques et aux transferts d’entreprises.
Le déménagement d’entreprises est une prestation spécifique qui requiert une organisation sans faille,
l’objectif premier étant d’éviter ou de limiter au maximum l’arrêt de l’activité de l’entreprise. Un plan d’action
détaillé avec rétroplanning est nécessaire pour mener à bien cette mission, pilotée par un chef de projet. La
planification et la préparation sont des étapes particulièrement importantes lors d’un transfert d’entreprise.
Ces phases incluent notamment plusieurs réunions de coordination avec l’entreprise, l’information et
l’accompagnement du personnel, la préparation d’un plan d’installation, coordonné avec un étiquetage
sophistiqué. La réalisation des opérations inclut, entre autres, le débranchement et le branchement des
équipements téléphoniques et informatiques y compris, selon les cas, des baies serveurs, et la liaison avec
des intervenants extérieurs (divers corps de métier, sociétés de maintenance des appareils, fournisseurs de
mobilier neuf, etc.). Le suivi de la mission se fait en coordination avec l’entreprise par le biais d’un contrôle
qualité.
Le transfert d’entreprise comprend également le déménagement de matériel lourd tel que les machines
industrielles, le déménagement de collaborateurs dans le cadre de leur mutation mais aussi, en France, le
déménagement de particuliers pris en charge par des bailleurs sociaux.
RSE
Le Groupe MOBILITAS, guidé par les valeurs et les principes du Pacte mondial des Nations unies,
s’applique à sans cesse améliorer la qualité de ses actions, que ce soit dans la gestion interne de ses
activités ou encore avec ses clients, fournisseurs et au sein des communautés dans lesquelles il opère.
L’année 2018 a été marquée par la mise en oeuvre d’opérations à caractère d’urgence et la poursuite de
missions à long terme. Présent dans de nombreux pays en voie de développement, MOBILITAS a à coeur
de participer à l’amélioration des conditions de vie des communautés locales, notamment lors de crises,
qu’elles soient politiques, économiques ou environnementales. Ainsi en 2018, le groupe est intervenu entre
autres au Sénégal pour l’acheminement de matériel médical destiné à une maternité, en Inde pour la
collecte de matériel d’urgence lors des inondations dans le Kerala, et en Afrique du Sud par le transport
d’eau pendant la sécheresse.
Parmi les missions à long terme, MOBILITAS s’engage à promouvoir une conduite éthique dans les
affaires, notamment par une tolérance zéro en matière de pratiques anti-concurrentielles et une volonté
inébranlable de lutter contre toute forme de corruption. À ce titre, le groupe prête une attention particulière
à la fiabilité de ses fournisseurs et à leur adhésion aux principes du Pacte mondial des Nations unies.
La formation fait aussi partie des projets de fond menés par MOBILITAS. Avec la mise en oeuvre de
nouvelles activités et la préoccupation constante de l’amélioration de la qualité de ses services, le
développement des compétences du personnel est un enjeu majeur pour le groupe. Sa politique pour
répondre à cette exigence inclut notamment la mise en place d’une université d’entreprise et le partage
des connaissances en interne.
Enfin, la protection de l’environnement tient toujours une place importante et reste au coeur des actions
de MOBILITAS. La poursuite du partenariat avec l’ONG Planète Urgence a permis au groupe de participer
à la plantation de 244 000 arbres au cours des dix dernières années. C’est aussi avec des projets plus
Modestes, menés localement, que MOBILITAS apporte sa contribution à la protection de l’environnement.
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permet d’être indépendante lorsque je crée des
présentations ou des newsletters.
Je peux prendre en charge vos newsletters de
la rédaction à l’envoi, en passant par la mise en
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